Avancement de la recherche sur les gènes
Plusieurs sortes de déficiences auditives sont associées à la mutation des gènes. Plusieurs de ces mutations ont été identifiées, et de plus en plus sont régulièrement ajoutées à la liste.
Une mutation du gène KCNQ4 associée à la sénescence auditive et une mutation du gène KCNE1 associée à une augmentation du risque de la surdité suite au bruit en sont deux exemples.
Les mutations du gène SLC17A8 ont été identifiées comme étant la cause d’une surdité d’ordre génétique qui est caractérisée par une diminution de la capacité à entendre les sons à haute fréquence.
Options de traitements futures
Ces découvertes permettent d’examiner un patient pour un certain type de mutation de gène et une possible surdité associée. Les progrès de la recherche offrent également l’espoir du futur développement de la thérapie de gène pour le traitement de la déficience auditive associée à la mutation des gènes.
La pierre tournante pour le traitement potentiel a eu lieu en 2008 lorsque les scientifiques on injecté le gène Atoh1 dans les oreilles internes de souris. Le gène a stimulé le développement des cellules ciliées.
Une méthode similaire pourrait rendre possible la régénération de l’audition humaine suite à une déficience auditive entraînée par le manque de cellules ciliées de l’oreille interne.
Molécules importantes
D’autres scientifiques ont examiné la microRNA, et de nouvelles découvertes ont été publiées en 2009.
Les microRNA sont des molécules qui affectent la formation des cellules en régulant l’activité des gènes. Les scientifiques essayent de déterminer comment les microRNA peuvent entraîner une déficience auditive.
Les microRNA ont été découvertes en 1992, et le développement des connaissances nécessaires au développement des traitements bénéfiques aux personnes malentendantes est un projet à long terme
Il en va de même pour l’ensemble de la recherché sur les gènes. Les techniques de traitement restent à découvrir ou développées.
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