Les parent sous-estiment les tests auditifs pour les nouveau-nés

Certains parents peuvent oublier les antécédents médicaux de leur famille, ou omettre de dévoiler certaine maladie vénérienne. Ceci sont quelques exemples de certains parents qui, délibérément, sous-estiment le dépistage auditif de leurs enfants. Dans certains cas, les résultats des tests peuvent être incorrects.
Ce problème a été soulevé par Christine Rhodes, Responsable du programme de dépistage auditif de South East Sydney en Australie. Elle explique que le manque d'informations, ou que les informations erronées fournies par les parents, sur les facteurs de risques potentiels sont important afin de ne pas induire en erreur les tests auditifs.
Peu admettent les facteurs de risques
Un enfant sur 1.000 de la zone Sud Est de Sydney est atteint d'une déficience auditive sévère suite à un dépistage auditif. Parmi ces enfants, environ 10 pour cent des cas sont la cause d'un ou de plusieurs facteurs de risque. Mais selon Rhodes et son expérience, seulement trois pour cent des parents d'enfants atteints de surdité grave reconnaissent la présence des facteurs de risque.
Les facteurs de risque sont par exemple, naissance prématurée (avant la 39 semaine de la grossesse), poids peu élevé à la naissance (moins de 1500 g), anormalités crano-faciales, placement sous couveuse, ainsi que la présence de la déficience auditive chez un membre la famille. D'autres facteurs de risque incluent certaines maladies chez la mère de l'enfant : rubéole, virus cytomegalo, herpes et méningite bactérienne.
Source: www.smh.com.au